Les leaders des partis classiques évincés au profit d’outsiders sur lesquels pas grand monde aurait parié une baguette de pain en France, des extrêmes de gauche ou de droite portés au centre du débat politique dans toute l’Europe, des élections américaines défrayant la chronique… La bataille du pouvoir semble échapper à toute règle connue. Que nous apprend le discours politique de ces situations inédites et des sociétés qui les portent ?…
« Ce qui compte vraiment, ce n’est pas de savoir quel parti est au pouvoir ; l’important, c’est de savoir si le gouvernement est aux mains du peuple. » Cette tirade extraite du discours d’investiture de Donald Trump contient à elle seule les ingrédients du succès du nouveau président américain : mépris des élites, des professionnels du politique, message de proximité envers l’ensemble des citoyens, des plus faibles surtout. Asséner quelques phrases chocs au nom de la grandeur de l’Amérique complète la recette : « l’Amérique d’abord », « acheter américain et embaucher américain » restaurent le rêve de la terre promise auprès de millions de citoyens anéantis par les années de crise. « Le style de Trump est très efficace, son ego très marqué lui fait utiliser abondamment le « je » et le « moi », qu’il fait résonner avec l’adjectif « américain ». C’est une astuce pour obtenir du charisme », explique Jacques Savoy, spécialiste de linguistique computationnelle à l’université de Neuchâtel, et qui a analysé la campagne présidentielle américaine jour après jour. Le message au final, c’est « je suis un Américain moyen comme vous et je vais vous représenter ».
Pari réussi pour le milliardaire devenu porte-parole du peuple. Et qui a joué une partie facile face à l’incarnation même d’une classe politique rejetée par bon nombre d’électeurs. « Hillary Clinton était la cible idéale », constate Thierry Herman, enseignant-chercheur en littérature française à l’université de Neuchâtel et spécialiste de l’analyse du discours. « Pas assez incisive, pas assez brillante, elle ne se démarque ni par la forme ni par le fond d’un discours très convenu ». Le scandale des e-mails donne un coup fatal à une campagne trop terne. Accusée d’avoir mis en péril la sécurité américaine par l’utilisation de sa messagerie personnelle à des fins professionnelles, ce qui est interdit par la loi, alors qu’elle était ministre des Affaires étrangères, Hillary Clinton s’est retrouvée prise dans un marasme politique dont on n’a pas vraiment mesuré la portée de ce côté-ci de l’Atlantique. Après tout, chacun ses scandales…
En tout cas, cette affaire a achevé de ruiner les ambitions de la candidate. « Les gens voulaient une personnalité, et pas forcément des idées », analyse Thierry Herman, qui s’étonne cependant encore de la force de persuasion du discours de Trump, « pourtant sans queue ni tête, sans réel programme ou en tout cas avec peu d’arguments à faire valoir ». Le langage, très simple, a certes servi un discours percutant et efficace, dans un contexte de crise sociale profonde.
Avec ses moyens informatiques, Jacques Savoy y relève une forte proportion de mots contenant au maximum six lettres. Les phrases, très courtes, comptent en moyenne quatorze mots, quand celles des autres candidats en comportent vingt ou vingt-deux, vingt-quatre même pour Obama. « En réalité, et à l’inverse de Clinton, Trump présente deux styles différents : le discours officiel, travaillé et extrêmement bien préparé par ses hommes de plume, et celui des interviews et interventions impromptues, nettement moins frappantes », remarque Jacques Savoy.
Le discours populiste de Trump, celui qui est destiné au grand public, se passe d’argumentation ; il assène des vérités sans preuves, et vaut uniquement par sa force descriptive d’un monde présenté comme vrai. « On se moque de la vérité et du mensonge, seule l’efficacité compte », relève Thierry Herman. Au point que celui qui dénonce le caractère mensonger des discours politiques ou médiatiques n’hésite pas à contredire sa vertu, en laissant par exemple son porte-parole annoncer une foule très exagérée d’auditeurs à son discours d’investiture. « Faits alternatifs » décrète l’équipe de Trump, « mensonges » rétorquent les observateurs. « Imposer des opinions et non des faits, appeler à l’émotion et non à l’argumentation, témoignent d’une perte de repères inquiétante », souligne Thierry Herman.
Si leur discours fait appel aux mêmes ressorts de langage, Marine Le Pen et Christoph Blocher ont su l’adapter pour que leurs partis d’extrême droite français (FN) et suisse (UDC) acquièrent la respectabilité. C’est au cours des années 1990 que le discours change de ton : la haine et l’agressivité envers l’étranger laissent place à l’affirmation de son identité propre et de ses valeurs, et cette nouvelle tonalité emporte l’adhésion et l’estime bien mieux que ne l’a jamais fait la provocation. Le FN et l’UDC sont aujourd’hui au sommet, respectivement en France et en Suisse, où ils sont désormais considérés comme des partis populistes plus que comme des partis d’extrême droite.
L’apologie de valeurs fondamentales n’est cependant pas l’apanage du langage extrémiste. La grandeur de la France est régulièrement convoquée lors de cérémonies d’hommages, comme dans le discours du Président Hollande après la tragédie du Bataclan, en novembre 2015. La célébration des valeurs de la République, l’affirmation de la volonté de lutter contre l’obscurantisme, de construire un « nous » contre un « eux », ainsi que l’analyse Thierry Herman, l’appel à l’émotion enfin, caractérisent un discours rassembleur, dont l’aura du Président Hollande a profité dans les semaines qui ont suivi son intervention. Même remarque à propos du discours de Jacques Chirac prononcé à l’occasion du décès de François Mitterrand, qui l’a fait apparaître non comme un président de droite, mais bien comme le président français. « Ces discours d’hommage n’ont pas un grand intérêt politique, mais sont finalement révélateurs de la construction de l’image d’un Président ».
En Suisse, où c’est un collège mêlant différents partis qui gouverne, et où la Présidence tourne tous les ans, cette dimension n’existe pas vraiment. Un gouvernement consensuel et une démocratie participative bien affirmée, avec de nombreuses « votations » directes, donnent un tout autre visage au monde politique. Et au discours aussi, qui parfois peine à se renouveler. Les partis gouvernementaux, et même les autres, ont du mal à se positionner par rapport aux populistes. « Par exemple, après la catastrophe de Fukushima, les écologistes se sont contentés d’attaquer les partis populistes. Ils ont manqué une occasion de se forger un discours propre », commente Thierry Herman. Certains n’hésitent pas en revanche à modifier les termes du discours pour faire aller l’écologie là où ils le souhaitent, comme aux États-Unis, où on parle, surtout chez les Républicains, de « changement climatique » et non de « réchauffement climatique », ce qui relativise à la fois l’importance de la menace et la responsabilité de l’homme. Et met en doute les résultats scientifiques…
L’emploi des mots évolue avec le temps. Choisis avec soin, rarement anodins, ils sont les outils d’une véritable stratégie. L’adjectif great, emprunté par Trump à la conversation de tous les jours, était inconnu des discours jusqu’à la dernière campagne américaine. Ce genre de pratiques le démarque et accentue une proximité voulue avec le peuple. Les accents de mépris affichés envers d’autres candidats : little Rubio pour qualifier son adversaire Marco Rubio aux primaires, ou encore « Hillary la malhonnête », faisant explicitement référence à l’affaire des e-mails, sont aussi inédits et so shocking ! En France, le langage fleuri d’un Jean-Luc Mélenchon ou d’une Marine Le Pen, chacun dans leur genre, ne manque pas d’animer le débat public…
Mais à côté des mots chocs et des mots-clés, on trouve des mots sans envergure, comme les verbes de modalité si chers aux anglophones. Une discrétion seulement apparente pour Marion Bendinelli, linguiste et membre du laboratoire ELLIADD à l’université de Franche-Comté, qui montre comment les auxiliaires semi-modaux prennent tout leur sens au sein d’une phrase, et se révèlent de véritables marqueurs d’identité et de stratégie. « La textométrie, l’analyse de données textuelles assistée par ordinateur, établit des listes de fréquences de mots utilisés par un candidat, et repère les liens lexicaux entre les termes employés. » |
Passés à la moulinette informatique, les textes des grands débats électoraux américains de 1960 à 2008 ont fait l’objet de la thèse de la chercheure. Ils ont été disséqués pour mieux reconstituer le sens caché des mots, en fonction des candidats et des époques. Can, de l’ordre du possible, de l’espoir, de ce qu’on mettra en place sans réserve, est associé aux thématiques sociales ; must, avec l’idée d’une obligation que l’on s’impose, s’associe à la responsabilité des États-Unis en tant que plus grande puissance mondiale, c’est l’auxiliaire de la politique étrangère ; have to exprime une obligation de réaction par rapport à des situations qu’on ne peut contrôler, et qui autorise à pointer des coupables hors de la sphère du pays, comme la mondialisation.
« À partir des années 1990, on assiste à une évolution dans l’idée d’obligation. Si can et have to restent stables, must décline dans les discours ». Signe de la prise de conscience d’un fléchissement de l’autorité américaine sur le monde ? Need to quant à lui arrive sur le devant de la scène linguistique ; moins autoritaire, moins définitif, il exprime la nécessité d’agir. Ought to fait référence aux valeurs religieuses et morales qui contraignent le politique, dont on sait qu’aux États-Unis le discours en appelle régulièrement à Dieu. « Les auxiliaires de mode passent inaperçus, mais en réalité ils révèlent le sens profond d’un texte politique », résume Marion Bendinelli.
« La structure idéologique est profondément ancrée dans le discours, il s’agit de débusquer cette idéologie à travers des marqueurs linguistiques. Les nouveaux outils informatiques autorisent désormais de telles analyses », complète Virginie Lethier, qui travaille elle aussi sur ces questions au laboratoire ELLIADD. Virginie Lethier est l’instigatrice de la création d’un observatoire des discours de campagne présidentielle électorale, cette fois centré sur l’élection présidentielle française de 2017. L’expérience est menée à visée pédagogique autant qu’à titre scientifique. « Les étudiants en linguistique se chargent de recueillir toutes les données orales ou écrites issues des débats télévisés aussi bien que des tweets, des interviews données à la radio ou dans la presse écrite… » Un travail titanesque qui donnera lieu, après traitement, à l’interprétation de ces données ; les conclusions devraient en être rendues en milieu d’année.
L’évolution du discours témoigne partout d’un réel bouleversement de la donne politique et sociale. L’élection de Trump, le Brexit, la montée des extrêmes en Europe, l’incertitude des résultats électoraux sont autant de faits à inscrire au passif de la crise de 2008. Mathieu Petithomme est enseignant en sciences politiques et chercheur au Centre de recherches juridiques de Franche-Comté. « Toutes ces situations politiques sont à relativiser, elles viennent en réaction à cette lame de fond économique et sociale qu’a été la crise. Si nous vivons clairement une transition, on ne sait cependant pas sur quelle configuration elle va déboucher ». Mathieu Petithomme parle du recul des « consensus sociopolitiques » qui prévalaient depuis les années 1990, avec par exemple l’idée d’une Europe intouchable et d’une mondialisation « bénéfique et glorieuse ».
« La période actuelle est marquée par le déclin de l’idée européenne et un désenchantement vis-à-vis de la mondialisation : le discours européen doit se réinventer pour que l’Union perdure ; le discours altermondialiste, autrefois marginal, est devenu central ». Ces questions existentielles entraînent une réorganisation des clivages politiques : à la traditionnelle opposition droite / gauche désormais un peu dépassée dans les pays européens, se substitue une lutte entre partis gouvernementaux et protestataires. De nouvelles formations apparaissent, comme PODEMOS en 2014 en Espagne1, qui veut « convertir l’indignation en changement politique », ou encore SYRIZA en Grèce, et l’arrivée au pouvoir en 2015 de ce parti d’extrême gauche, jusque-là minoritaire.
En France et dans certains pays d’Europe centrale, où le spectre du communisme empêche la progression de l’extrême gauche comme dans le sud, c’est l’extrême droite qui gagne du terrain, là aussi favorisée par l’affaiblissement des consensus sociopolitiques d’avant 2008, et l’absence de discours porteurs et traduits en actes qui pourraient prendre le relais.
Mais de nouvelles voix se font entendre aussi, comme celle d’Emmanuel Macron, dont la candidature bénéficie d’un ensemble de conjonctures favorables, comme le souligne Mathieu Petithomme : « un changement générationnel, un affranchissement vis-à-vis de la politique traditionnelle, et un discours attrape-tout. La candidature d’Emmanuel Macron s’affirme en réaction à la vacuité des mots, à l’incohérence entre discours et action, et à une éthique politique mise à mal. Ne pas avoir d’histoire politique le sert, mais peut le desservir très vite aussi, si son discours face aux autres candidats n’affiche pas suffisamment de conviction. »
C’est ce que le chercheur appelle « l’effet soufflet ». En France, comme ailleurs en Europe, le déclin des consensus et le besoin de voir gérer des situations sociales conflictuelles poussent les citoyens vers la nouveauté politique, qu’il s’agisse d’un parti, d’une entreprise ou d’un homme. C’est ainsi qu’une bulle de popularité peut rapidement se gonfler autour d’une personnalité, mais se dégonfler tout aussi vite si le discours ne passe pas l’épreuve de la concrétisation, et s’avère décevant. « L’incertitude sociopolitique d’un côté et une bonne distance critique chez les citoyens de l’autre forgent un comportement changeant chez les électeurs, qui en grand nombre papillonnent d’un homme politique à l’autre. » Et les sondages, les mois passés l’ont prouvé, perdent toute valeur prophétique.
1 Fernandez Garcia A., Petithomme M., Contester en Espagne, crise démocratique et mouvements sociaux, Demopolis, 2016
Bien sûr, un évènement inattendu peut aussi changer la donne : un scandale politique comme celui des e-mails de Clinton aux États-Unis ou l’affaire Fillon en France, une catastrophe telle que l’accident nucléaire de Fukushima, ou encore un attentat, dont tous les exemples sont à déplorer. L’impondérable bouscule les thèmes de campagne inscrits à l’agenda, ou plutôt aux agendas qui font référence en vue d’une élection. Il faut ici comprendre, sous le terme « agenda », l’idée d’épingler différentes problématiques à un ordre du jour, plus que la notion de rendez-vous chronologiques. À la fin des années 1960, les Américains Mc Combs et Shaw mettent en évidence que les médias attirent l’attention des citoyens sur certains sujets plus qu’ils n’influencent leur opinion. Depuis, les théories en communication politique ont évolué, et souligné que des interactions existent entre trois agendas, donc entre trois préoccupations différentes : l’agenda politique, l’agenda de l’opinion publique et l’agenda médiatique. « Aujourd’hui l’équilibre entre eux procède du marketing politique et de la stratégie, explique Julien Auboussier, enseignant-chercheur en sciences de la communication à l’université de Franche-Comté. Le politique est à l’écoute de l’opinion publique pour mieux lui parler des thèmes qui lui importent, et les médias assurent un discours de reprise. Nicolas Sarkozy, par exemple, était toujours à l’affût des sondages pour mieux déterminer ses thèmes de campagne ».
Les thématiques choisies pour une campagne se doivent d’être clivantes, de démarquer les candidats. La sécurité, l’identité, le chômage, l’Europe, la santé, l’environnement…, vont selon les époques marquer de façon plus ou moins forte les différents agendas. La manière dont ces sujets vont être abordés est aussi une possibilité de se singulariser. Le nucléaire peut par exemple être vu sous un angle économique ou selon une considération écologique.
Le thème de l’Europe illustre parfaitement cette idée de stratégie. En France, en Espagne ou encore en Irlande, il est très peu question de l’Europe dans les débats, alors que l’union et la construction européennes figurent au premier plan des campagnes électorales, comme un passage obligé garantissant le succès à l’élection. Née de la volonté des gouvernements, concrétisée d’abord par des accords économiques puis portée par une ambition fédéraliste, l’Europe s’essouffle. Il faut la nourrir de nouveaux projets pour qu’elle continue à vivre. « Les discours à son sujet ne véhiculent pas de vraies idées. Et le comportement des élus européens, avec par exemple pour certains une fréquentation ridiculement faible aux sessions du Parlement, souligne encore la contradiction entre le discours et l’action. En France, seuls les Verts avec Cohn-Bendit dans les années 2000 affichaient une ligne claire et cohérente vis-à-vis de l’Europe ».
Les thèmes se diversifient avec différents points d’entrée et l’agenda médiatique se démultiplie avec internet et les réseaux sociaux. Si les médias traditionnels tiennent encore le haut du pavé, les réseaux sociaux, les blogs et autres forums véhiculent de nouvelles informations, et sont les relais privilégiés des candidats qui critiquent largement les médias traditionnels. « En cette période où l’on se méfie des institutions et des élites, les réseaux sociaux nourriraient-ils l’imaginaire de la démocratie directe ? », se demande Mathieu Petithomme. « On voit très bien sur internet l’évolution de l’intérêt pour un thème ou pour une personnalité », renchérit Jacques Savoy. Popularité d’un sujet de société, popularité d’un candidat aussi : internet donne à voir une campagne électorale autrement. « En France, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont très en avance sur les autres candidats : le nombre de requêtes les concernant est bien supérieur. Et dans la majorité des cas, la recherche d’informations sur un candidat témoigne d’un intérêt plus que de curiosité. À eux de transformer cet intérêt en vote ! »
La démultiplication du discours par le jeu des nouveaux relais d’information ajoute encore à la complexité des campagnes électorales dans une période politiquement et socialement chahutée. Fin du suspense en France le 23 avril et le 7 mai prochains…
C’est la question que s’est posée Christophe Francillon à la Haute école de gestion Arc, en écho à l’interrogation que le magazine Bilan relayait dès 2012 à propos de l’influence des réseaux sociaux sur les élections.
Ingénieur en informatique, toujours désireux de trouver des applications à ses algorithmes dans l’actualité, Christophe Francillon s’est amusé à comparer les stratégies de communication et les scores d’audience des deux candidats à la présidentielle américaine. « De février à juillet 2016, on compte dix-huit tweets par jour pour Clinton contre douze pour Trump. Mais ces derniers sont trois fois plus « likés » et « retweetés ». D’ailleurs, qui se souvient d’un seul tweet d’Hillary ? », questionne Christophe Francillon, alors que chacun de ceux de Trump était commenté par la presse ». Et Trump gagne du terrain au fur et à mesure que la campagne progresse. « Les réseaux sociaux apparaissent pour certains comme un endroit où il serait intéressant d’être présent, quand c’est un impératif pour Trump. » Juste avant le deuxième tour des élections, Trump comptait seize millions d’abonnés sur Facebook, Clinton dix millions. « Je ne sais pas si Facebook ou Twitter ont fait gagner les élections à Trump, mais ce qui est certain, c’est qu’il y était beaucoup plus actif, et que sa présence sur les réseaux sociaux a fait l’objet d’une véritable stratégie de communication ».
Contacts :
Université de Neuchâtel
Jacques Savoy – Institut d’informatique – Tél. +41 (0)32 718 13 75
Thierry Herman – Institut de littérature française – Tél. +41 (0)32 718 16 66
Université de Franche-Comté
Marion Bendinelli / Virginie Lethier / Julien Auboussier – ELLIADD – Edition, Littératures, Langages, Informatique, Arts, Didactique, Discours – Tél. +33 (0)3 81 66 51 36
Mathieu Petithomme – CRJFC – Centre de recherches juridiques de l’université de Franche-Comté
Christophe Francillon – CTIG – Centre Technologique en Informatique de Gestion – Tél. +41 (0)32 930 20 84