La vipère est le poinçon de l’Observatoire de Besançon. Elle s’appose sur les marque-temps méritants, ceux qui ont réussi avec succès les épreuves de précision et de stabilité du service chronométrique. Elle reprend du service, sollicitée par les plus grands noms de l’horlogerie. Pour preuve, le client de Kari Voutilainen, horloger finlando-suisse qui a gagné en 2007 le concours prestigieux de la ville de Genève, a exigé que sa montre soit livrée avec le bulletin de marche de l’Observatoire. Trois organismes au monde sont susceptibles de contrôler les montres : le Cosc à Genève, le centre de WEMPE Glashütte en Allemagne et l’Observatoire de Besançon. S’il a été choisi, c’est pour sa réputation d’excellence et d’indépendance, arrimée à un solide savoir-faire né de son histoire.