Il y avait les vichystes ; il y avait les résistants, et entre les deux, il y avait les non consentants, ne se résignant pas, mais ne prenant pas non plus part aux actes de la Résistance. Ces hommes et ces femmes, comment écrivaient-ils ? Comment exprimaient-ils leurs idées, que ce soit dans les journaux intimes des personnes ordinaires ou des écrivains, à travers la poésie populaire, à travers la presse clandestine et dans les geôles des condamnés à mort ? Y a-t-il une modification du processus d’écriture, une originalité propre au temps de l’Occupation ?
Ces questions seront abordées lors du colloque « Écrire sous l’Occupation » à la fois sous l’angle de la littérature, de l’histoire et de la linguistique. Il est organisé par le musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon, l’université de Franche- Comté et la fondation de la Résistance.
Contact : Bruno Curatolo
Centre Jacques Petit
Université de Franche-Comté
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Laboratoire des Sciences historiques
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