Qu’est-ce qui fait courir l’ethnographe ?… D’un pays à un autre, certains se muent en véritables globe-trotters, gardant les mêmes objets de recherche pour fil conducteur. D’autres se consacrent à un terrain d’étude unique, substrat fertile pour de multiples investigations. D’autres encore vont au gré de leurs objets de recherche à la rencontre des territoires et des populations les mieux à même de répondre à leurs questionnements. Cette diversité de parcours fait l’objet de journées d’étude émaillées des expériences aussi disparates que passionnantes des différents intervenants.
L'ethnologue Pascale Bonnemère en Papouasie Nouvelle-Guinée
Organisées par la Société d’ethnologie française, en partenariat avec le Laboratoire de sociologie et d’anthropologie (LASA) et la Maison des sciences de l’homme et de l’environnement (MSHE) Claude Nicolas Ledoux de l’université de Franche-Comté, elles s’inscrivent dans le cadre d’une réflexion sur les ethnographies plurielles dont c’est le deuxième volet.