Le cinéma comme vecteur de la mémoire dans le cinéma anglophone

Du 8 au 10 septembre 2010 à Besançon

Depuis la première projection publique donnée par les Frères Lumière à Paris en 1895, le cinéma se caractérise comme un vecteur de mémoires individuelle et collective. Les images d’archives des films de guerre permettent de lutter contre l’oubli. Les reconstitutions historiques, celles des westerns ou des films de gangsters, savent faire revivre un passé. Le cinéma de Chaplin comme celui de Mira Nair témoignent de la réalité sociale d’une époque. Les œuvres de science-fiction fabriquent de toutes pièces la mémoire d’un réel inédit…

L’exploration de ces différentes formes de mémoires et les façons propres au spectateur de les faire vivre constituent les thèmes du XV^e colloque international de la SERCIA — Société d’études et de recherches sur le cinéma anglophone. Organisé en collaboration avec l’université de Franche-Comté, il aura lieu en septembre à Besançon, ville natale des frères Lumière, un clin d’œil à leur mémoire.